Les boues d’épuration, aussi appelées biosolides municipaux, perpétuent une tradition millénaire qui considérait les excréments humains comme un puissant engrais. Au Québec, seulement 1,5 % des superficies cultivées reçoivent des biosolides municipaux, avec 42 % de nos boues. Cette pratique s’avère profitable et sécuritaire, si l’on respecte nos règles rigoureuses.
Un texte d’Hubert Brochard, collaboration spéciale | L’UtiliTerre
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